Saturday, March 04, 2006

Avec le temps va tout s’en va…

A ce temps nouveau je fais le premier pas…
Je te vois toujours couler a l’infini,
Et me voila qui fixe le regard, m’ami
Meme une ame si vive que la votre monsieur
Ne pourra jamais errer des regards des dieux
Alors, ne vous cachez-en moi, non plus
Et arretez de vous accrocher aux illusions
Me voila casser les rimes, j’ai marre des rimes
Ton amitie est fort plus intime
Ca je le jure. A jamais tu seras la,
Avec les temps et tous les temps tu resteras.
Saches-le m’amour, tant que je suis proche
tu existes.
Jettes les voiles sombres sur mes armes,
Casses les chaines des soirs qui nous accablent.
Tu parles toujours des couleurs, sans les gouter
Tu parles des corps des femmes, sans les gouter
Dans mes yeux, tu sors des rangs,
Alors non, tu couches aux portes des cieux,
Je ne suis qu’une petite fille fatiguee.
Je suis la fille des temps perdus mon petit
Viens, nous exister
Comme la melancholie d’un jour ensommeille
Fuis-toi et flottes et embrasses tes fautes.
Cesses chercher les ombres surreels d’un amour
Et vas enivrer le monde par ta beaute,
tes sentiments si uniques
et ton ame translucide de clarete
et voila les rimes de nouveau
jettes ce poeme
oublies les mots
viens dancer…

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